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Livres, films, musique… Kometa c’est aussi un tour d’horizon des artistes venus d’un monde qui bouge à l’Est.

  • Dans chaque numéro et sur notre site, retrouvez la rubrique Kometa Kulte   

  • L'image de la semaine vous fait découvrir une photographe du Bélarus

  • Et comme chaque semaine, la recommandation de la rédaction: une mini-série polonaise

«A l’est du Nouveau», la newsletter de Kometa avec des récits et des photos, chaque jeudi dans votre boîte mail. 

Les précédentes éditions sont ici. N'hésitez pas à partager!

Pierre et Silouane de Kometa


Dans un mois, Kometa n°3

«Fabriquer l'oubli» : c’est le prochain numéro de Kometa, en librairie le 5 juin. Venez le découvrir le 24 mai à la Gaîté Lyrique (Paris) pour une soirée en présence de 3 de nos autrices. Au programme, échanges de l’Ukraine à la Turquie avec Ksenia Bolchakova et Pinar Selek, lecture publique de Vassili Grossmann par Dominique Simonnot et présentation du numéro par la rédaction. Entrée libre, dans la limite des places disponibles. En savoir plus ici

Vous pouvez dès à présent précommander le numéro


Kometa Kulte

Tatiana Shmayluk chanteuse du groupe de musique ukrainien Jinjer | © Andy Von Pip/ZUMA Press/Alamy

«La culture, c'est la mémoire du peuple, la conscience collective de la continuité historique, le mode de penser et de vivre» disait Milan Kundera en 1979. Cinquante ans après, Kometa explore les livres, les films, les musiques qui façonnent un tissu culturel qu’on n’a pas toujours pris en compte. Kometa Kulte, porte ainsi un éclairage sur des scènes culturelles longtemps laissées dans l’ombre en Occident ou bien souvent réduites à la seule culture Russe.

De la musique 

  • Dans chaque numéro de Kometa, le critique Michka Assayas tient une chronique musicale. Avec Tbilissi Psyché, nous embarquons sur les traces d’un duo japonais et post-punk: Heavenphetamine, dont les deux membres se sont connus à un concert en… Géorgie. C’est aussi là que le groupe a connu un grand succès. Dans «L’avenir rock de l’Ukraine», notre chroniqueur raconte sa rencontre avec le groupe de métal ukrainien Jinger. Une nouvelle chronique à retrouver dans notre n°3, en juin!

De la littérature 

Double-page de «Liaisons dangereuses», 2e numéro Kometa | © Kometa 

Du cinéma

  • Avec Kometa Films, documentaires et fictions sont à découvrir dans nos 2 premiers numéros. Dans le 3e, Thibaut Bruttin en sélectionne avec soin parmi les archives de la Cinetek, partenaire de Kometa

Et même du tourisme

Double-page de «Liaisons dangereuses», 2e numéro Kometa | © Kometa 

La photographie de la semaine 

© Lina Dreik

Une femme allongée sur l’herbe, le regard fier et froid, toise l’objectif. Derrière elle, un diplodocus semble tombé de nulle part. Plus loin, d’autres silhouettes de dinosaures se dessinent. Au fond, des bâtiments blancs nous ramènent à la ville et à notre époque: Minsk et son DinoPark en 2020.

Chez Lina Dreik, les temps se brouillent, l’ancien monde est envahi par le nouveau (ou inversement). C’est le pseudonyme d’une artiste bélarusse de 24 ans qui illustre le texte de Sacha Filipenko sur la capitale du Bélarus. À Minsk, il est risqué de faire des images dans la rue. Pour montrer les réalités de son pays, la jeune photographe a opté pour un art hybride, entre photo documentaire et photo de mode. «Je ne peux pas m’imaginer sans cette activité: dans les moments les plus difficiles de la vie, c’est ce qui m’aide à recouvrer mes esprits.»


A lire ce week-end

  • Récit: «Pour le meilleur et contre l’empire». La romancière Salomé Kiner raconte l'amour de sa mère suisso-italienne pour son père, juif soviétique, dans les années 1980. Du mélange des cultures aux traces laissées par la langue russe, 1er chapitre de son récit paru dans le 2e numéro de Kometa, à découvrir en libre accès sur notre site.
  • Je vous écris de Jalalabad: «J’ai appris à ne plus rien attendre des hommes». Quand les talibans reviennent au pouvoir en Afghanistan, Neda Amiri, étudiante à Kaboul, rejoint son amoureux au Pakistan. Mais depuis octobre 2023, le pays expulse les réfugiés au mépris du droit international. Neda, qui a écrit à Kometa sous pseudonyme, fait partie de ces retournés forcés.

La recommandation Kometa

Ann-Marie Kornek, journaliste réseaux sociaux, vous fait découvrir «La crue», mini-série de Jan Holoubek et Bartlomiej Ignaciuk.

A l’été 1997, Wrocław, la quatrième ville de Pologne avec plus de 600 000 habitants, est touchée par une crue exceptionnelle de l’Oder, le fleuve qui traverse le pays. J’avais 8 ans et je me souviens encore de l’inquiétude que j'ai ressentie pour ma famille qui vivait à quelques kilomètres de là. Heureusement, elle n’a pas été touchée, mais 56 personnes ont perdu la vie et la ville a été sévèrement abîmée. Plusieurs mois plus tard, en visite chez eux, je pouvais encore voir les traces laissées par l’eau sur les façades des maisons: comme une énorme cicatrice à ciel ouvert. 
25 ans après, Netflix a sorti Wielka Woda («La crue»). Cette mini-série de six épisodes s’inspire de faits réels. On y suit l'hydrologue Jaśmina Tremer (portée par l’excellente Agnieszka Żulewska) et l’homme politique Jakub Marczak (Tom Suchardt) qui tentent d’alerter sur le danger imminent de cette inondation. Le décor nous plonge dans la Pologne post-communiste des années 1990: un véritable voyage dans le temps. 

À découvrir, la bande-annonce (en VO, SRT GB).

«La crue», une mini-série en six épisodes disponible sur Netflix

A propos de Kometa

À l’origine de Kometa, une envie: comprendre le monde en allant voir là où il bouge. On ironise parfois sur ces Américains qui ne savent pas placer Paris ou Bruxelles sur une carte d’Europe, mais l’invasion russe de l'Ukraine a révélé notre méconnaissance d’une partie entière de notre continent.

Tous les trois mois dans une belle revue papier de 208 pages, chaque semaine dans ses newsletters et tous les jours sur son site, Kometa propose des grands récits littéraires, des photos d’auteurs et des débats d'idées pour saisir ce que nous n’avons pas vu se lever à l’Est. En révéler la richesse, les talents et l’incroyable complexité.

L'agenda

09 mai à 14h30

Lili Pankotai à Lyon

Une des héroïnes de notre deuxième numéro rejoint les Nuits Sonores du collectif Arty Farty pour parler des scènes indépendantes européennes sous pression. Pour en savoir plus et vous inscrire:


14 mai

Dialogues européens à Amsterdam

Nouvelle étape du cycle de rencontres organisées par l’Institut Français, dont Kometa est partenaire. A l’ordre du jour dans la capitale hollandaise «L’Europe géopolitique face à la guerre»


18-20 mai

Festival Étonnants Voyageurs, Saint-Malo

Kometa est partenaire du festival Etonnants Voyageurs. Avec notamment l’écrivain ukrainien Artem Chapeye, que vous avez pu lire sur notre site, ou Elitza Gueorguieva, que vous lirez dans le n°3. Vous pouvez d’ores et déjà réserver vos places


22 mai 

Rencontre Kometa au café Format Poche, Lille

Haydée Sabéran, rédactrice en chef adjointe, présente Kometa au café Format Poche, en plein cœur de la bibliothèque de Sciences Po Lille


25-26 mai

Festival Oh les beaux jours !, Marseille

Kometa est partenaire du festival Oh les beaux jours ! Venez nous rencontrer à la Grande librairie (Conservatoire Pierre Barbizet) et écouter l’écrivaine Elitza Gueorguieva et le romancier Sergueï Shikalov, en dialogue avec Pierre Benetti, rédacteur en chef adjoint. Entrée libre!


5 juin

Kometa n°3 en librairie

Notre 3e numéro «Fabriquer l’oubli», en librairie le 5 juin, est disponible en pré-commande et en vous abonnant

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