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Bonjour, c’est l’équipe de Kometa. Plus de 1900 numéros ont déjà été vendus depuis le début de notre campagne de précommande.

Nous avons augmenté notre tirage et les numéros supplémentaires sont sous presse. Merci pour votre enthousiasme!

Cette semaine, nous vous racontons pourquoi nous avons choisi le mot «impérialisme» comme fil rouge du premier numéro de Kometa.

Les éditions précédentes de cette newsletter sont ici. Et si vous aimez notre projet, transférez ce mail à vos proches.


Raconter l'impérialisme

Illustration : The Shelf Company

Chaque numéro de Kometa a un mot pour fil rouge. Ce n’est pas un dossier, pas un carcan, c’est un thème qui court à travers nos récits en textes et en images. Aux lectrices et aux lecteurs de s’y promener, d’y piocher des idées, des histoires. 

La vocation des cultures impérialistes est de prendre toute la place. Leur puissance nous aveugle. L’américaine, bien sûr. Mais aussi la russe, que nous croyions connaître. À tort. Pour son premier numéro, Kometa plonge au cœur de cet impérialisme qui inverse la réalité en prétendant mener une guerre de libération.

Trois mois avant l’invasion de l’Ukraine, Vladislav Sourkov, l’obscur penseur de Poutine qui a inspiré l’écrivain Giuliano Da Empoli pour son Mage du Kremlin, écrivait : «La Russie s’étendra. Non pas parce que c’est bien, ni parce que c’est mal, mais parce que c’est physique.»

En agressant son petit voisin, Vladimir Poutine applique la forme d’exercice du pouvoir la plus commune dans l’histoire. Nationalisme, colonialisme, totalitarisme, la Sainte Trinité nourrit des rêves d’expansion.

Nous allons dans le pays agresseur, la Russie, qui colonise les esprits et cherche à écraser toute lutte, toute émancipation. «Je vis l’agression de l’Ukraine comme un crime commis en mon nom», confie une photographe de Moscou qui préfère rester anonyme.

Nous partons en Ukraine, en Géorgie, en Moldavie, en Hongrie avec une lycéenne révoltée, au Bélarus assister aux pots de départs des futurs exilés, au Kirghizistan avec des alpinistes, et jusqu’en Afrique australe avec Achille Mbembe, penseur de la décolonisation.

«Pouchkine était utilisé pour effacer ma culture», nous déclare Botakoz Kassymbekova, une chercheuse kazakhe de l’université de Bâle. Sommes-nous capables de l’entendre, de comprendre?

Nous avons beau vouloir décentrer notre regard, nous parlons depuis un pays qui a été colonisateur, un pays aujourd’hui en paix. Conscients de notre aveuglement, nous tentons d’y voir plus clair. 

L’équipe de Kometa


Pourquoi commander Kometa?

  • Découvrir en avant-première 208 pages de reportages littéraires, photographie d’auteur, cartes et grands entretiens
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  • Financer une revue indépendante et sans publicité qui soutient des auteurs en exil ou qui résistent de l’intérieur
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A propos de Kometa

À l’origine de Kometa, une envie: comprendre le monde en allant voir là où il bouge. On ironise parfois sur ces Américains qui ne savent pas placer Paris ou Bruxelles sur une carte d’Europe, mais l’invasion russe de l'Ukraine a révélé notre méconnaissance d’une partie entière de notre continent.

Tous les trois mois dans une belle revue papier de 208 pages, chaque semaine dans ses newsletters et tous les jours sur son site, Kometa propose des grands récits littéraires, des photos d’auteurs et des débats d'idées pour saisir ce que nous n’avons pas vu se lever à l’Est. En révéler la richesse, les talents et l’incroyable complexité.

L'agenda

29 septembre

Fin des précommandes

Il vous reste 29 jours pour vous abonner à Kometa à un tarif préférentiel et en parler à vos proches!


11 octobre

En librairie

Le premier numéro sort en librairie en France, en Suisse et en Belgique le 11 octobre. Si vous le commandez en ligne, vous bénéficiez d’un tarif de lancement et ferez partie de nos premiers lecteurs et lectrices.


Du 22 au 27 novembre

Kometa à Un week-end à l'Est

Kometa participera à la 7e édition du festival des cultures de l'Est, à Paris. Cette année, la ville à l'honneur, Tbilissi, est aussi la destination d'Emmanuel Carrère dans Kometa N°1.

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