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Bonjour je m’appelle Vahram Muratyan,
Je suis né à Paris en 1980. Directeur artistique et designer graphique, je me suis fait connaître en 2013 avec mon livre Paris vs New York (Penguin aux États-Unis, 10-18 en France), Passionné de récits hauts en couleurs et d'envolées typographiques, j'ai été sollicité pour souligner le caractère iconique de plusieurs marques emblématiques comme Prada, Dior ou Longchamp, illustrant notamment le célèbre sac Pliage d’une sarabande de lettres en papier origami. Outre-Manche, j'ai habillé les carnets de notes légendaires Smythson d’un je-ne-sais-quoi très parisien. Depuis cinq ans, je suis directeur de création de plusieurs maisons d’édition françaises (Editions Seghers, Pocket Poèmes, Collection Proche) et, fun fact, j'ai été nommé chevalier des Arts et des Lettres en 2017. En 2023, je publie Va au Japon, dont on vous parle dans cette newsletter accompagnée de quelques inspirations personnelles.


Mes illustrations dans le Kometa Japon

Toutes les illustrations qui ornent la rubrique «Allons-y» sont tirées de mon ouvrage Va au Japon (Les Arènes/Komon, 2022), un roman graphique minimaliste sur ma vie de rêveur-flâneur au pays du Soleil-Levant, un voyage visuel et ludique dans l’Archipel pour en déconstruire les clichés avec humour. 

Idéal pour accompagner les textes des personnalités choisies pour «Allons-y», aussi diverses que le cuisinier Thierry Marx, les écrivains Muriel Barbery, Karim Kattan et Jean-Christophe Grangé, ou l’artiste José Lévy, créateur du pavillon France à l’Exposition universelle d’Ôsaka qui se déroule en ce moment. 


L’info que j’ai retenue 

La disparition de David Lynch. Il avait tout annoncé avant les autres : le phénomène #metoo, l'inceste, les violences faites aux femmes, les revirements de l'Amérique, la mafia au pouvoir, les obsessions malsaines… des thèmes assez lourds, contrebalancés par sa poésie visuelle inégalée. Je me sens chanceux d'avoir grandi en même temps que son art. 


La personnalité qui m’a marqué

Découvrir tardivement James Baldwin, ses écrits et surtout ses punchlines genre “Not everything that is faced can be changed, but nothing can be changed until it is faced.” (qu’on pourrait traduire par : «On ne peut changer tout ce qu’on affronte, mais rien ne peut changer tant qu’on ne l’affronte pas.»). Celle-ci a été écrite dans le New York Times en 1962.


Une raison d’espérer

Écouter Wajdi Mouawad et sa leçon inaugurale au Collège de France, intitulée «L’ombre en soi qui écrit».


Le film que je recommande 

Toujours et encore Paris, Texas de Wim Wenders. 

Toutefois, si on reste sur la thématique Japon, l'un des plus beaux films d'Ozu, Printemps tardif (ici, l'affiche originale de 1949).


Une phrase qui m’inspire

« Nous devons continuer à vivre… »

Issu d'un autre superbe film japonais, Drive My Car de Ryūsuke Hamaguchi qui lui-même cite beaucoup Oncle Vania d'Anton Tchekhov et dont le scénario part d'une nouvelle de Haruki Murakami. Toujours dans la recherche de ponts entre les cultures, les langues, les êtres.


Un lieu à découvrir au Japon

Sur l'île de Kyushu, Kurokawa Onsen, près du mont Aso. Pèlerinage obligé si on aime les bains chauds japonais.


Un lieu japonais à découvrir en France

Ogata, pour le plus bel intérieur de Paris, dans un ancien hôtel particulier du XVIIe siècle dans le Marais. À la fois salon de thé, restaurant, bar, boutique et galerie. 

Et pour le plus bel extérieur, j'aimerais me rendre dans les prochaines semaines au Parc oriental de Maulévrier (à 1 heure de Nantes, photo).


Retrouvez les illustrations de Vahram Muratyan dans notre numéro Japon !


La comète de la semaine - le choix de la rédaction

En librairie dès demain, le «libelle» d’une collaboratrice de Kometa, la chercheuse et maîtresse de conférences en science politique à l’université de Paris- Nanterre, Anna Colin Lebedev : Ukraine, la force des faibles (Seuil).

Pour mieux comprendre comment l’Ukraine résiste à l’ogre russe malgré le manque de moyens, et le rôle essentiel que joue la société civile, du soutien logistique aux soldats à l'apprentissage du maniement des drones ou des soins de premier secours. «Chaque Ukrainien trouve le moyen de résister», témoigne-t-elle.

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Née du choc du retour de la guerre sur le continent européen, Kometa raconte le monde partout où il bascule, de l’intérieur, à travers les regards de celles et ceux qui le vivent. La revue fête sa première année et grandit grâce à vous, en passant de 4 à 6 numéros par an en 2025.

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